Parquet flottant, tout savoir sur ses avantages et ses désavantages
Qu’est-ce que le parquet flottant ? Le parquet flottant ou le plancher flottant est un sol stratifié, ce qui veut dire un matériau composite ou un assemblage de plusieurs matériaux, dont le bois, obtenus par l’agglomération de plusieurs couches diverses (comme le verre, papier, etc.) à l’aide d’un liant à la base de silicone, de résine et de polyamide.
Contenu de la page
- 1 Parquet flottant et parquet de bois massif : quelle différence ?
- 1.1 Une brève histoire du parquet en général
- 1.2 Parquet flottant : on le préfère malgré les caractéristiques indiscutables du bois
- 1.3 Parquet flottant : un coût moindre et une manière d’économiser
- 1.4 Parquet flottant : autres raisons pour lesquelles on le préfère au parquet de bois massif
- 1.5 Parquet flottant et certains inconvénients
- 1.6 Quels types de revêtements de sol flottant existent-ils ?
- 1.7 Comment poser un parquet flottant ?
Parquet flottant et parquet de bois massif : quelle différence ?
Alors que le parquet en bois massif est composé de bois noble, le parquet flottant englobe plusieurs éléments d’usure et n’est pas à proprement parlé un parquet. Pourquoi, dans ce cas, de plus en plus de gens préfèrent poser un parquet flottant au lieu de revêtir leur sol d’un parquet en bois massif ? Pour répondre à la question, il faut d’abord présenter une brève histoire du parquet.
Une brève histoire du parquet en général
Depuis les temps, l’homme essaie de se protéger du froid et de l’humidité. Son contact direct avec la pierre lui a appris à chercher comment s’isoler de ce contact direct. Le contact avec le bois était révélateur pour l’homme que l’isolement du froid était possible. Il n’a pas dormi par terre lorsqu’il habitait les huttes et avant elles, les cavernes. Il couvrait le sol avec des peaux, des tissus, des plantes, du bois des bateaux, etc. C’était les premiers planchers que l’homme s’est lui-même faits.
On connait réellement la notion de parquet depuis la Renaissance. Puis, on commence à distinguer le parquet du plancher. Le mot plancher vient du mot planche qui est rustique, dure, pas très élaborée, découpée des arbres en abondance, comme le chêne.
Le parquet, en revanche, est réservé à l’aristocratie pour son caractère élaboré et décoratif. Il représente des éléments en bois de forme et de longueur différentes qui peuvent être joints à l’aide des tenons, des mortaises, des rainures, des languettes. Il évoluera avec le temps !
La pose du parquet est presqu’un art. Le parquet est posé sur des lambourdes, de grosses poutres posées d’une manière perpendiculaire à celle de la pose du parquet. Les lambourdes elles, sont posées sur des solives, des poutrelles qui soutiennent les poutres. Les solives sont posées d’une manière parallèle à celle du parquet et perpendiculaire à celle des lambourdes.
Les parquets au point de Hongrie font leur apparition au 17e siècle. Pour sa pose, les lambourdes doivent être rangées plus côte à côte. Puis, toujours au 17e siècle sont apparus les parquets à la française. Ils se développent surtout au siècle suivant pour revêtir les salles de réception dans les palais, châteaux et les hôtels particuliers. Avec le temps, ils changent un peu d’allure. Juste pour l’info, ces parquets sont aujourd’hui encore exportés dans le monde entier.
L’histoire du parquet connaît également les parquets marquetés. Ce sont des parquets avec des jolies compositions dont les caractéristiques principales sont des éléments de rosace ou autres et une élaboration à partir de bois différents, comme le chêne, l’orme, le sycomore, l’ébène, l’acajou et le palissandre.
La mode des parquets s’est propagée petit à petit dans le monde entier. Au 19e siècle, les réalisations russes ont marqué l’apogée de cet art. Bien que les parquets russes soient extrêmement chargés et trop somptueux ne correspondant plus aujourd’hui aux goûts d’aujourd’hui, ils ont su marqué l’histoire du parquet.
Photo ® Corcoran
Le parquet en lames ou le parquet flottant qui se sont industrialisés et démocratisés arrivent avec succès à imiter tous les dessins des parquets d’antan.
Le modèle le plus répandu et le plus apprécié encore de nos jours, qui a été aussi le parquet Haussmannien par excellence, est le point de Hongrie. Ensuite, arrive le parquet mosaïque en lamelles et non plus en lames qui sont plus faciles à produire.
Enfin, arrive le parquet contrecollé ou appelé aussi le parquet multicouches qui n’est plus un parquet en bois mais dont la couche supérieure est d’essence noble. Les deux autres couches sont en bois tendre et en contreplaqué. A cause de sa pose, ce parquet entre dans la classification des parquets flottants car à la différence des parquets de bois qui sont fixés au sol, les lames de celui-ci sont simplement emboîtées les unes dans les autres.
Le paquet contrecollé est une découverte du Suède Gustave Kahrs dans les années 40 du 20e siècle. Sa technique de fabrication s’explique surtout par le fait que dans les pays scandinaves la présence des arbres résineux (tendres, comme le pin, etc., voir infra) est supérieure que celle des arbres feuillus (durs, comme le chêne). Ce parquet présente 80 % des parquets choisis par les Français.
Quant à la technique de pose du parquet, elle a beaucoup évolué. De nouvelles astuces techniques ont remplacé la technique de scellage et de clouage à partir des salves et des lambourdes (la pose des lambourdes e toujours actuelle car elle permet au paquet massif d’être mieux cloué au sol afin d’éviter le grincement et d’offrir une meilleure stabilisation et isolation à l’aide du remplissage avec de laine de verre), comme les opérations de calage, ou celle à la base de bitume (disparue dans les années 80 du siècle dernier), de sable, ou encore les dalles en béton. La technique de collage, puis celle à colle blanche ont révolutionné la fixation du parquet.
Le problème de séchage des dalles et des frises est un autre sérieux problème auquel on a cherché à apporter des améliorations surtout au niveau du raccourcissement de la durée des cycles de séchage.
Le rabotage a été lui remplacé par le ponçage mécanique, puis par l’utilisation de vernis qui nous sommes parvenus des pays scandinaves.
Parquet flottant : on le préfère malgré les caractéristiques indiscutables du bois
Le bois est un matériau noble, intemporel, écologique car biodégradable, performant car renouvelable et pouvant extraire des quantités de dioxyde de carbone à l’atmosphère durant toute sa durée de vie, dont la production et l’exploitation nécessitent moins d’énergie que pour la même exploitation et production de l’acier, de l’aluminium ou du PVC, ses alternatives, par exemple.
Par ailleurs, le bois à partir duquel on fabrique des parquets peut être tendre, mi dur, dur et très dur selon la fréquentation de la pièce dans laquelle on le posera et respectivement son usage selon ledit trafic dans la pièce en question. Les exemples qui vont suivre infra, rangés dans quatre catégories, vous donneront une illustration de types d’arbres à abattre pour la fabrication du sol.
Le bois tendre est le pin, le sapin, l’aulne, l’épicéa, etc. Le bois mi-dur est, par exemple, le teck, le bouleau, le noyer, le châtaignier, le merisier, etc. Le bois dur est le chêne, le hêtre, l’olivier, l’érable, le frêne, l’orme, l’iroko, le panga-panga, etc. Le bois très dur le merbau : c’est le nom commercial des espèces botaniques du genre Intsia, un autre arbre tropical que l’on peut trouver en Asie du Sud.
Le coût de ce matériau noble est donc beaucoup plus élevé que le coût d’autres matériaux et notamment d’un matériau composite. Donc, premièrement, les gens préfèrent (faire) poser un parquet flottant à cause du coût moins important de ce type de revêtement du sol.
De plus, pour faire un joli revêtement de sol, il faut abattre des arbres de plusieurs types, choisir les meilleurs, c’est-à-dire ceux qui sont secs, sains, etc., les couper sans casser le tronc et utiliser juste la partie du tronc répondant aux caractéristiques bien particulières et notamment une longueur, une largeur et autres, afin de pouvoir obtenir comme produit final un tel, doté de qualités absolues.
Parquet flottant : un coût moindre et une manière d’économiser
Puisque tout le cycle de production du bois, comme l’on l’a déjà mentionné, a un coût, de ce fait on peut conclure qu’il vaut mieux mettre en usage tout le bois afin d’éviter le gaspillage de cette ressource naturelle noble. Pour faire un maximum d’économies tout au long du processus de son utilisation, il faut donc tout utiliser de ce qui reste du coupage de l’arbre pour la production d’autres produits dont on a besoin dans notre quotidien.
L’assemblage de ces débris, mélangés avec d’autres éléments pour atteindre un meilleur produit, donneront comme produit final le parquet stratifié flottant. Mais est-ce uniquement la raison du coût expliquant pourquoi les gens préfèrent le sol stratifié au parquet de bois massif ? Nous allons à présent nous pencher sur cette question.
Parquet flottant : autres raisons pour lesquelles on le préfère au parquet de bois massif
Oui, le parquet de bois massif est naturel et chaleureux. Mais le processus de la fabrication du bois massif est long et coûteux, alors que celui du parquet flottant l’est beaucoup moins. On a vu aussi qu’il était très économique.
Par ailleurs, le sol stratifié est simple à poser. Sa pose est si facile que vous pouvez le poser vous-mêmes ! Pour expliquer comment faire soi-même, il faut nous suivre tout au long de cet article !
De plus, le parquet flottant est agréable à l’usage. Il est plus souple que le parquet de bois et cela même lorsque le type du bois massif est tendre. La question se pose cependant de savoir si ce type de parquet présente uniquement des avantages ou, au contraire, il a également des inconvénients.
Parquet flottant et certains inconvénients
Les parquets flottants sont-ils résistants à l’usage ? Sont-ils résistants à l’eau et à l’humidité comme le sont les parquets de bois massif ? Autant de questions auxquelles il faut non seulement chercher la réponse mais aussi expliquer les raisons.
En ce qui concerne l’usure de ce parquet, dans la plupart des cas, il est doté d’une couche protectrice contre l’usure au moment de l’achat. Cette couche peut avoir une épaisseur qui varie de 2, 5 mm à 7 mm. Plus elle est épaisse, plus longtemps vous aurez la possibilité de poncer dessus afin de corriger toutes les imperfections ou toute tache et saleté. Mais cette couche tout de même n’est pas durable.
Alors, à vous de choisir l’épaisseur de votre sol stratifié. Il existe des parquets flottants couverts de vernis, comme il existe des parquets en bois massif laqués, afin qu’ils vous servent un maximum de temps.
Par ailleurs, le parquet bon marché n’est pas aussi résistant à l’eau et à l’humidité qu’est le parquet normal, et ceci, sans même aller aussi loin et parler du cas d’une inondation. Dans cet ordre d’idées, il ne sera pas une bonne idée d’installer un lave-vaisselle ou un lave-linge en proximité du parquet flottant ou directement dessus. Dans le cas contraire, pensez à utiliser des essences de bois imputrescibles.
Un autre grand inconvénient que l’on ne peut malheureusement en aucun cas négliger, c’est le fait que ce parquet n’isole pas du bruit. En effet, entre le sol en béton et le parquet posé, il existe de l’air. Heureusement, à tout problème il y a une solution. Vous pouvez prévoir de mettre ou de faire poser une couche isolante afin de minimiser ledit inconvénient autant que cela se peut.
Quels types de revêtements de sol flottant existent-ils ?
Il existe le parquet contrecollé, stratifié qui se divise en deux types (voir infra) et le sol en vinyle qui n’est plus un parquet à proprement parlé mais que nous allons présenter tout de même à cause de son extraordinaire ressemblance avec le bois.
Le parquet flottant contrecollé
Le parquet contrecollé (voir aussi supra) est un parquet composé de trois couches en épaisseur différente collées ensemble. La première couche qui est aussi la supérieure est celle d’usure. Elle est donc la couche en bois dur, le matériau qui peut endurer l’usure pendant environ 100 ans. La deuxième couche est toujours en bois mais cette fois en bois tendre. La troisième couche est en contreplaqué.
Le contreplaqué est un panneau à base de bois qui est obtenu ou fabriqué par le collage de couches adjacentes de placages qui sont des feuilles de bois d’épaisseurs différentes, grâce à huit opérations différentes : le déroulage, le séchage, le massicotage, le tri, l’encollage, le pressage, le ponçage et le sciage.
Le déroulage consiste en l’opération où une lame coupe en déroulant la feuille de placage à partir de la bille ou le tronçon d’arbre découpé. Le séchage est le processus consistant à sécher les placages. Le massicotage est l’opération consistant à couper le placage par le massicot. Ce dernier est une machine qui met à dimension le placage déroulé.
Le tri est l’opération consistant à partager les placages d’une qualité meilleure de ceux d’une qualité pauvre. Les placages dont la qualité est meilleure passeront à l’extérieur et ceux dont la qualité est mauvaise resteront au milieu. L’encollage est l’opération qui consiste à coller les différents placages.
Le pressage débute lorsque les placages sont insérés dans une presse et le ponçage est un processus de polissage. Le sciage ou le travail avec la scie est la dernière opération qui donne au contreplaqué sa forme finale.
Le parquet contrecollé présente l’avantage de pouvoir être vitrifié pour être mieux entretenu. Cela veut dire que vous pouvez le peindre en la couleur que vous avez choisie. La peinture acrylique est celle que tout le monde vous conseillera de prendre car elle est la moins toxique.
La peinture polyuréthane est plus chère que la peinture acrylique mais beaucoup plus résistante. N’oubliez pas poncer le contrecollé avant d’adhérer la peinture. Si les lames de votre parquet sont sales, lessivez-les avant le ponçage. Si ce n’est pas la première fois que vous colorez votre sol, passez la ponceuse au moins trois fois avant d’appliquer la nouvelle couleur. Après que la peinture est sèche, poncez à nouveau avec de la toile abrasive.
Le parquet flottant stratifié
Il existe aussi le parquet stratifié. Ce sol imitant le parquet traditionnel est constitué de fines particules de bois sur lesquelles une reproduction des fibres de bois diverses et variées de tous les parquets souhaités est imprimée. Les deux types de parquet stratifié sont le bois orienté qui est plus résistant et donc plus cher et le bois aggloméré qui est plus fragile mais moins coûteux.
Le paquet flottant en vinyle
Le vinyle est du plastique mais vous ne devez pas vous focaliser dessus ! Le vinyle est une solution à merveille car il est capable d’imiter n’importe quel matériau et notamment le bois ! Pour profiter longtemps de ce type de revêtement de sol, évitez de le poser dans les entrées ou les couloirs à fort potentiel de fréquentation car il reste un revêtement fragile qui peut s’abimer facilement et à jamais.
Il y a des vinyles bon marché et très haut de gamme. Nous vous conseillons le vinyle haut de gamme si vous usez et désabusez de talons à aiguilles et de brûlures de cigarettes. Pensez aussi à mettre des patins de feutre sous vos meubles afin de pouvoir prévenir l’usure rapide et définitive du matériau et la visibilité des marques irréversibles.
Evitez aussi de marcher avec des chaussures dont les semelles sont en caoutchouc colorés car elles risquent de tacheter durablement le vinyle. Evitez enfin les produits de nettoyage concentrés agressifs, optez plutôt pour le dépoussiérage à l’aide d’une serpillère en microfibre humide.
Comment poser un parquet flottant ?
La pose flottante consiste en l’emboîtement simple des lames entre elles qui offre une stabilité indubitable de ce type de revêtement du sol. Les lames munies de languettes sont emboîtées sans l’usage de la colle.
La pose flottante se distingue de la pose fixe au sol. Cette dernière méthode est la méthode utilisée pour la pose des parquets de bois massif. Les lames sont clouées sur des lambourdes. En revanche, la pose flottante, plus simple que la précédente, est une méthode consistant à l’encastrement des lames les unes dans les autres.
Cette méthode est aussi appelée la méthode des bricoleurs de dimanche. Elle est rapide, économique et ne nécessite que donc très peu d’outils.
Vous aurez besoin d’un kit de pose pour parquet flottant qui vous coûtera environ 15 euros max ; ou des cales en bois d’1cm d’épaisseur et une cale à frapper ; de l’enduit de ragréage à 2 euros en moyenne le kg ; du film polyane dont le prix varie entre 25 et 80 euros le rouleau de 6mx28m ; un maillet et un marteau ; une scie sauteuse avec des lames de rechange ou une scie égoïne ; une scie à onglet ; une équerre ; un mètre, un niveau, une règle de maçon ; de la colle à bois dont le prix est en moyenne de 5 euros le biberon de 0,75 kg ; une éponge, des clous dont le prix moyen est de 16 euros la boîte de 5 kg ; un chasse-clou ; une ponceuse ou une calle de bois et du papier abrasif de différents grains.
Selon la pose, le parquet flottant peut être à lames clipsées qui ne nécessite pas de colle et à lames collées.
Avant de commencer à poser votre parquet flottant, sachez que celui-ci peut être posé sur toute sorte de revêtements : sur du carrelage, sur un ancien parquet en bois massif, sur la moquette, voire sur la dalle de béton.
Dépoussiérez bien votre sol. Passez pour l’occasion bien l’aspirateur. Si votre sol n’est pas plan, appliquez l’enduit de ragréage qui remettra le sol à niveau tout en faisant disparaître toute irrégularité. Une fois le remise à niveau, posez le film de polyane sur l’ensemble de la surface afin de préserver votre futur parquet de l’humidité.
Vous pouvez commencer à poser votre première lame à présent. Posez-la tout au long du mur choisi. Pour plus de facilité, choisissez le mur qui fait face à la porte d’entrée de la pièce. Entre la lame et le mur insérez des calles d’environ 9 mm. Cet espace permettra au parquet de se dilater librement.
L’espace sera recouvert pas des plinthes qui sont des plates-bandes et qui cacheront le vide et effectueront la jonction entre le sol et le mur.
Les autres lames seront posées les unes après les autres de manière aléatoire en ce qui concerne leur taille afin d’assurer une plus grande solidité suite au dispersement des emboîtements des lames. N’ayez pas de doute que rangés de la sorte, le côté esthétique de votre sol ne sera pas compromis !
Si vous avez choisi la pose des lames à coller, enduisez la rainure avec de la colle et inclinez la deuxième lame un peu afin que la languette puisse s’emboîter parfaitement dans la rainure de la première lame posée. Puis, une fois emboîtée comme il faut, abaissez-la en forçant pour qu’elle prenne sa place. Tapez fort avec le maillet sur le martyr bien calé dans la lame.
Ne frappez pas directement sur la lame pour ne pas casser la rainure ou la linguette de la lame car il faudra la jeter et la remplacer avec une nouvelle. La rainure est une partie obligatoire de la lame sans laquelle vous n’arriverez pas à bien emboîter votre parquet. Quoi qu’il advienne, lorsque vous achetez votre parquet, prévoyez d’acheter un peu plus de lames pour ne pas se retrouver dans la situation inverse où vous n’auriez pas suffisamment.
Assurez-vous que la distance entre les lames et le mur est respecté ! Si jamais tel n’est pas le cas, utilisez le tire-lame pour corriger la situation en tapotant jusqu’à l’obtention de l’alignement souhaité. Lorsque la dernière lame pour la rangée est trop longue, coupez-la avec la scie sauteuse.
Pour une meilleure stabilité, évitez les découpes inférieures à 20 cm.
Chaque rangée de lames doit respecter l’alignement du mur dont il était question tout à l’heure ! C’est vraiment essentiel ! Procédez de la même façon jusqu’à la dernière rangée.